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13 mai 2016 5 13 /05 /mai /2016 22:30

Jeudi 12 mai, un rassemblement a eu lieu à Marseille contre la loi Travail.

L'ampleur de la mobilisation, bien que ce ne soit pas un jour d'appel à la grève, a permis de le transformer en manifestation.

L'important dispositif policier déployé, ainsi que le nombre de BACeux toujours croissant, fait échos aux répressions du premier mai, du 10 mai et des jours suivants. Tout indique que la police n'entend plus « dissuader » mais bien empêcher tout rassemblement et manifestations.

A la fin de la manifestation, la police ayant fermé toutes les issues de la place Castellane, des échauffourées ont éclaté entre ce qui restait du Service d'Ordre de la CGT et une partie du cortège 'jeune' -et moins jeune- qui souhaitait continuer en manifestation sauvage.

Le reste cortège existant a tenté de s'engouffrer dans la rue Maurel, derrière les camions CGT et Solidaires qui tentaient de prendre ce chemin (également bouché par un cordon de CRS) pour rentrer dans leurs maisons respectives.

Milles versions du récit de ce qui s'est passé alors se coupent et se recoupent, chacun cherchant qui a jeté le premier caillou, le premier "collabo", donné le premier coup de pied.

Il nous appartient d'analyser la situation à froid : que des événements similaires aient pu se produire dans d'autres villes, dans des configurations locales différentes doit nous alerter particulièrement sur la stratégie mise en place nationalement par l'Etat. Depuis le début du mouvement tout a été entrepris pour diviser, entre eux, ceux qui se mobilisent. Ce qui s'est passé le 12 mai témoigne avant tout d'une réussite pour la police qui n'a eu qu'à se frotter les mains, parvenant à dresser deux parties des manifestants l’une contre l’autre.

La tactique employée ce jour-là par les CRS, BACeux, RG, etc a été la même partout où ont explosé des tensions alimentées, en partie par des éléments policiers infiltrés. Force est de constater que le mouvement n'a pas su réagir à temps pour contrer cette nouvelle façon de gérer la colère populaire.

Nous regrettons que la situation en soit arrivée à ce point de tension, entamant une unité déjà précaire, condition nécessaire à la victoire.

Ceux qui ont le moins intérêt à l'unité sont ceux que nous combattons au quotidien : les patrons, l'Etat, et tout ceux qui les servent. Le gouvernement à tout intérêt à nous diviser, et ne se prive pas d'exploiter les désaccords qui existent entre ceux qui luttent.

Sous ces affrontements regrettables se cachent plusieurs discours ; notamment celui affirmant que la CGT, et les syndicats en général, sont une arme patronale, un outil de contrôle du prolétariat, au même titre que le serait la police.

Nous réfutons cet argumentaire et affirmons qu'aujourd'hui encore le syndicat est l'arme la plus efficace pour mener la lutte au sein des entreprises, et pour organiser la convergence entre tous les travailleurs.

Que l'on soit en désaccord avec les stratégies des syndicats est une chose. L'exprimer en insultant publiquement des militants en est une autre ; et c'est intolérable.

Que l'on souhaite partir en manifestation sauvage est une chose ; que l'on hue ceux qui font le choix de ne pas le faire est intolérable aussi, en plus d'être contre-productif.

Ce mouvement social a pris diverses formes, inconnues jusqu'alors. La forte mobilisation sur les réseaux sociaux a permis la diffusion des premières dates de mobilisation à un public peut-être nouveau, expliquant en partie leur succès. Les lycéens et les étudiants ont pris une part active à la contestation sociale, selon leurs propres modes d'action.

Cependant, nous ne gagnerons pas sans l'outil le plus efficace en terme de blocage d'économie : la grève.

N'oublions pas que lorsqu'une manifestation à lieu, quel que soit son parcours, c'est autant de personnes présentes qui ont arrêté le travail, participant au ralentissement de l'économie ce jour-là.

Que ces affrontements arrivent au moment même où le mouvement prend une tournure nouvelle est d'autant plus regrettable : pour la première fois cette année, deux dates de grèves sont annoncées dans la même semaine, et des préavis de grève reconductible ont été posés dans de nombreuses fédérations syndicales.

Nous appelons à continuer la construction du mouvement social, plutôt qu'à le détruire.

Nous appelons l'ensemble des jeunes à renforcer la mobilisation aux côtés des travailleurs en grève, des précaires et des privés d'emploi le 17 et le 19 mai, et à s'unir contre le patronat et son gouvernement.

Face à la division, créons les conditions de l'union des classes populaires !

Face à la répression, amplifions la lutte aux côtés des travailleurs !

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6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 16:43
Agression fasciste du local des JC d'Aix

Alors que comme chaque jeudi les Jeunes Communistes d'Aix-en-Provence se réunissaient pour débattre autour d'un film, des membres du groupuscule d'extrême-droite Action Française ont une nouvelle fois tenté de s'introduire dans la section des PCF du Pays d'Aix. Pendant plus d'une demi-heure, ils ont fait un véritable siège du bâtiment, prenant en otage les camarades présents. Il y a de cela un an et demi, cette même organisation avait déjà fait irruption en plein débat, saccageant sur son passage l’intérieur de la section, jetant des bouteilles en verre à bout portant sur nos camarades et rouant de coup l'un d'entre eux. Ces mêmes personnes qui vocifèrent « communistes assassins » rappelant ainsi les heures les plus sombre de l'histoire du XXème siècle, prétendent vouloir dialoguer ? Aujourd'hui comme hier, les communistes ne dialoguent pas avec les groupes fascistes, mais luttent au quotidien en militant contre leurs idées nauséabondes qui n'ont qu'un objectif : diviser les travailleurs et détourner leur colère légitime face à un système capitaliste qui les prive de toutes les richesses qu'ils produisent.

Cette agression survient dans un contexte extrêmement particulier. D'abord, l'État d'urgence imposé par le gouvernement « socialiste » et surtout le mouvement contre la loi travail qui, mobilisation après mobilisation Dans ce contexte ultra-repressif, nous ne doutons pas que les contrôles d'identité effectués hier par la police, permettent de faire progresser les enquêtes concernant les multiples faits de violence reprocher à ce groupuscule.

Enfin, cette agression survient à quelques jours du 8 Mai, journée de souvenir de la victoire contre le nazisme en 1945.

Les communistes d'Aix-en-Provence, qu'ils soient jeunes ou moins jeunes, continueront de demander la dissolution des groupuscules fascistes au gouvernement. Ils continueront de militer pour défendre vraiment l'intérêt des opprimés et en finir avec ce système capitaliste capable d'enfanter de tels monstres pour défendre ses profits.

Communiqué des Jeunes communistes et du Parti communiste Français du Pays d'Aix

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22 avril 2016 5 22 /04 /avril /2016 12:13
Photo de la JC 13

Photo de la JC 13

Ce mercredi, les étudiants de la fac St-Charles ont mis la rentrée sous le signe de l'amplification de la lutte.

Dès 5 h du matin, ils étaient nombreux du comité de mobilisation pour bloquer tous les accès à la fac et empêcher la tenue de l'ensemble des cours.

Le blocage a tenu jusqu'à la fin de la journée, avec le soutien des enseignants et personnels en grève, et aucun étudiant, salarié ou enseignant n'a pu rentrer dans l'université.

S'inscrivant depuis le 9 mars dans le combat pour le retrait non négociable du projet de loi travail, les étudiants ont choisit cette action forte pour rendre toujours plus visible leur mécontentement contre ce gouvernement qui les méprise.

A la différence de certains syndicats étudiants qui commencent à capituler, les étudiants marseillais répondent : nous ne nous laisserons pas acheter avec des augmentations ridicules des bourses, nous voulons des conditions de travail futures dignes !

Plus localement, ils exigent la banalisation des cours par l'université pour la journée du 28 avril afin que l'ensemble des étudiants puissent se rendre à la manifestation, sans craindre pour sa bourse ou son contrôle continu.

Le message pour la direction de l'université est clair, à défaut de banalisation, le blocage est tout aussi efficace pour ne pas mettre scolairement en danger les étudiants qui veulent rejoindre la lutte !

les jeunes communistes des Bouches du Rhône affirment tout leur soutien aux étudiants de la faculté de Saint-Charles en lutte et invitent l'ensemble des étudiants précaires du département à suivre l'exemple et rejoindre le combat contre la loi travail.

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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 10:38

Depuis 4 ans, la Jeunesse Communiste des Bouches du Rhône organise un repas des anciens et amis de la JC !

Cette initiative permet de se retrouver dans une ambiance fraternelle entre communistes pour échanger sur l'histoire de la jeunesse communiste dans notre département mais aussi de l'actualité et du rôle politique de la JC.

Si tu souhaites t'inscrire au repas, contacte nous sur :

-TÉLÉPHONE (BEN) 06.35.18.72.16

- Par mail : jeunes.communistes13@gmail.com

- Ou par courrier : MJCF 13 280, Rue de Lyon 13015 Marseille.

REPAS DES ANCIENS ET AMIS DE LA JEUNESSE COMMUNISTE !
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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 17:23

Face à la désinformation que nous servent à la louche les médias bourgeois, un petit point s'impose à propos de la manifestation qui a eu lieu le 24 mars à Marseille... La journée de mobilisation pour exiger le retrait de la loi Travail a rassemblé des milliers de personnes dans la rue. Les étudiants ont défilé de la faculté de St-Charles à la préfecture, où ils ont rejoint les lycéens de Marseille venus en masse. Les travailleurs du département ont défilé de la Joliette à la Canebière, avant jonction des deux cortèges, qui se sont rejoint sur la Canebière.

La fusion de ces deux manifestations qui sont reparties ensemble jusqu'à l'entrée d'autoroute Saint-Charles, a montré l'unité entre lycées, étudiants, travailleurs et chômeurs précaires mobilisés et déterminés à ne rien lâcher jusqu'au retrait de la loi. Une action de blocage a ensuite eu lieu -sur proposition de l'Assemblée des lycéens qui s' était tenue la veille- coordonnée entre les comités de mobilisation étudiants, les lycées, et les militants mis à disposition par les syndicats pour aider à la sécurité de la manifestation.

L'article du "grand journal d'information" 20 minutes donne une version des faits toute différente ; affirmant que « les militants de la CGT se sont joints au défilé, moins pour protester que pour tenter d’encadrer les lycéens. Ils ont ainsi formé une chaîne pour bloquer l’accès au quai du Port obligeant les manifestants à prendre la rue de la République. ». La rue de la République étant le parcours prévu de la manifestation par les manifestants eux-même, la présence des militants CGT n'avait d'autre objectif que de faire en sorte que la police -très zélée ces derniers temps- ne se sente pas libre de tenter de couper le cortège en deux comme le 17 mars dernier, ce qui avait conduit alors à des affrontements entre policiers et manifestants et à l'arrestation musclée d'un lycéen.

La police a d'ailleurs encore une fois fait preuve d'une agressivité sans pareille face au groupe de manifestants qui sont allé ensuite à la gare Saint-Charles pour continuer la manifestation. Coups de matraques, gaz lacrymogènes, grenades à bout portant, les policiers en civils s'en sont donné à cœur joie contre les manifestants, arrêtant du même coup plusieurs manifestants dont deux ont été gardés plus de 24h en garde à vue. Nous condamnons ces violences policières gratuites et demandons l'abandon total des poursuites contre les manifestants.

Les offensives de la presse bourgeoise suite à cette dernière journée de manifestation sont nombreuses et toutes vont dans le même sens : tenter de diviser le mouvement social, en affirmant que lycéens et travailleurs de la CGT se seraient sans cesse affrontés, incapables de se mettre d'accord et de lutter ensemble. Quoi de mieux pour enrayer une lutte que de monter les uns contre les autres les acteurs qui y prennent part ?

Nous regrettons profondément et dénonçons avec fermeté l'attitude et les positions prises par quelques isolés qui, sous couvert d'un discours radical, tiennent les même propos que 20 minutes et iTélé en prêchant l'impossible rassemblement entre la jeunesse et les travailleurs organisés dans les syndicats.

Nous avons assez à faire contre le gouvernement, les patrons, et leur police qui, forte de l'argument d'Etat d'urgence, arrête et tabasse à tout va. Soyons vigilants face à toutes ces tentatives de divisions, et ne tombons pas dans les pièges que la bourgeoisie nous tend pour nous empêcher de nous organiser.

Lycéens, étudiants, travailleurs, précaires et chômeurs, ,nous devons lutter ensemble contre le projet de loi, contre la répression policière, et contre le système capitaliste !

Le 31 mars, le 5 avril, c'est classe contre classe ! Tous dans la rue, tous en grève, tous mobilisés contre le pouvoir de la bourgeoisie !

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18 mars 2016 5 18 /03 /mars /2016 00:38

Aujourd'hui, des milliers de jeunes marseillais étaient dans la rue : des lycéens, des étudiants et des jeunes travailleurs de tout Marseille étaient unis contre la loi « El-Khomri » et les politiques antisociales du Parti Socialiste.

Suite à un rassemblement massif à la Préfecture, une grande manifestation de la jeunesse a eu lieu jusqu'à la faculté Saint-Charles. Celle-ci se déroulait dans le plus grand calme, lorsque, à l'angle de la Canebière et du boulevard d'Athènes, la Police Nationale a tenté de briser le cortège en forçant le passage avec 3 voitures, manquant de renverser un jeune manifestant.

Loin de reconnaître leurs torts et de faire profil bas, les policiers ont enchaînés les provocations envers les manifestants et ont utilisé leurs matraques pour se frayer un passage. Les forces de l’ordre ont traqué, frappé et arrêté un lycéen en plein cœur du cortège, avant de le conduire en garde à vue. Face aux réactions légitimes de colère des manifestants, la Police a répliqué par la violence en projetant des grenades lacrymogènes.

Malgré les attaques, la manifestation s'est maintenue jusqu'à la faculté Saint-Charles pour y tenir une Assemblée Générale de la jeunesse marseillaise. Au même moment, un groupe d’une dizaine de membre de l'Action Française, organisation royaliste, s’est regroupé devant l’université et ont agressé plusieurs manifestants amenant l’un d’entre eux aux urgences.

En Assemblée Générale, les lycéens et les étudiants ont décidé de se rassembler devant le commissariat de Noailles pour exiger la libération de notre camarade. De manière pacifique, mais déterminée, 300 personnes se sont rassemblées. Face à eux, des dizaines de CRS en équipement complet ont tentés de déstabiliser et de terroriser les jeunes présents, notamment en effectuant des « RAIDS » d'intimidation et en utilisant les bombes lacrymogènes.

La Jeunesse Communiste des Bouches-du-Rhône dénonce les agissements provocateurs et brutaux de la Police et de ces organisations fascistes, à Marseille et partout en France.

Nous condamnons fermement les tentatives de faire taire le mouvement social par la violence, la brutalité et la peur. Face à ce climat de terreur, où ceux qui protestent sont matraqués, gazés, intimidés :

Nous appelons à l'amplification de la mobilisation pour le retrait pur et simple du « Projet de Loi Travail », à l’extension du mouvement partout où le patronat nous vole et nous exploite, partout où le gouvernement tente de faire taire les revendications légitimes des jeunes précaires du département.

Face à la division orchestrée par les appareils répressifs de l’Etat, nous appelons à faire converger les luttes que mènent les salariées, les privés d’emplois, les lycéens et les étudiants.

Faisons de la journée du 24 Mars et la de grève interprofessionnelle du 31 Mars, une offensive massive pour le retrait immédiat et sans aucune concession du sinistre « Projet de Loi Khomri »

Jeunesse Communistes des Bouches du Rhône.

18/03/26

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 13:02

Mercredi, nous étions 60 000 à Marseille et plus de 350 jeunes à Aix en Provence à sortir dans les rues pour demander le retrait pur et simple du projet de loi Khomri. Il n'était prévu qu'un simple rassemblement, mais l'élan d'unité, de lutte et de fraternité l'a emporté face au rouleau compresseur mis en place par les capitalistes. C'est une véritable mobilisation qui est en train de démarrer.Il y a fort longtemps qu’une mobilisation d’une telle ampleur n’a pas eu lieu. Même lors du CPE nous n’avons pas assisté à un tel début de mouvement social.

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 09:17

Mercredi, nous étions 60 000 à Marseille et plus de 350 jeunes à Aix en Provence à sortir dans les rues pour demander le retrait pur et simple du projet de loi Khomri. Il n'était prévu qu'un simple rassemblement, mais l'élan d'unité, de lutte et de fraternité l'a emporté face au rouleau compresseur mis en place par les capitalistes. C'est une véritable mobilisation qui est en train de démarrer.Il y a fort longtemps qu’une mobilisation d’une telle ampleur n’a pas eu lieu. Même lors du CPE nous n’avons pas assisté à un tel début de mouvement social. Et si certains journaux, qui n’ont jamais été dans le camp des opprimés, prétendent que la jeunesse n’était pas au rendez-vous, c’est bien que l’ampleur des cortèges jeunes d’Aix et de Marseille met leur projet liberticide en danger.La colère des lycéens, des étudiants et des jeunes travailleurs monte jour après jour contre ce gouvernement socialiste qui, depuis le début de son mandat, n’a pas cessé de s’attaquer aux acquis des opprimés et des exploités en France.Aujourd’hui, avec ce projet de Loi: c’est véritablement un retour au 19ème siècle permettant des semaines de 60 heures, renvoyant les 35 heures au placard,…etc.Le combat ne fait que commencer. Il faut le massifier et l’organiser toujours plus, par des initiatives semaines après semaines partout où les jeunes vivent, étudient et travaillent. Nous contribuons ainsi à grandir le rapport de force contre ce gouvernement socialiste, libéral et antisocial !Jeunes communistes, nous appelons l’ensemble de la jeunesse du département à s’organiser partout où cela est possible pour faire des journées du 17 et du 31 Mars, les premières défaites du gouvernement « socialiste », marionnette du Medef et du patronat.La mobilisation du 9 Mars était le premier pas de la mobilisation, donnons-nous les moyens pour que le 17, puis le 31 soient les premiers échecs du gouvernement en multipliant les actions jusqu’à ces dates. Comités de mobilisation, comités de lutte, assemblées générales.., rendons sa voix à la jeunesse victime du capitalisme !

La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat !
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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 22:56

Cliquez sur le lien pour le lire en ligne, ou demandez-le auprès des camarades des jeunes communistes des Bouches-du-Rhône!

Nous serons dans les rues, devant les facs, les lyçées, les CFA du département demain, et tous les jours à venir pour construire le combat de la jeunesse opprimée de France !

L'avant-Garde de Mars- Avril 2016 est paru !
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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 11:06
Photo prise par La Marseillaise.

Photo prise par La Marseillaise.

Damien Del Cerro (responsable jeunes travailleurs a la section de Marseille), intervient dans La Marseillaise et donne son avis sur le deroulement du congres de l'union departementale de la CGT dans les Bouches du Rhone.

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La fédération

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